Shadow IT

avril 12th, 2023 | eckertmathison |

Informatique en parallèle ou informatique invisible en français ou parfois Rogue IT.

Terme décrivant l’utilisation de systèmes et services informatiques (applications, logiciels, appareils…) sans l’autorisation de la direction et sans contrôle de la DSI.

Dans la plupart des cas, il s’agit de l’installation d’une application non vérifiée ou de son propre système de sécurité.

Quels risques ?

L’informatique en parallèle peut représenter de nombreux risques pour l’entreprise.

Premièrement, c’est une menace pour la sécurité. Par exemple, si un collaborateur installe un logiciel malveillant ou sans respect des bonnes pratiques et des règles informatiques en vigueur dans l’organisation. Puis, vient le risque de perte de données, par l’utilisation simultanée, mais sans communication, de deux logiciels ayant la même fonction. Enfin, le Shadow IT risque de créer une incohérence dans les pratiques et les documentations instaurées.

Le Shadow IT génère aussi des coûts dissimulés pour l’entreprise.

Exemples de Shadow IT fréquents

• Logiciels Hors Catalogue
• Solutions Cloud
• Solutions VOIP
• Site web
• Systèmes décisionnels (tel que la BI)
• Bring Your Own Device (BYOD) ou le fait d’utiliser son propre matériel informatique dans le cadre professionnel

Comment réduire le Shadow IT ?

Afin d’éviter que vos collaborateurs ne s’essayent au Shadow IT, il est nécessaire de mettre en place de nouvelles pratiques pour répondre à leurs besoins informatiques. Il peut s’agir de :

• mener une analyse fréquente des besoins, voire anticiper les besoins informatique des collaborateurs,
• plus globalement, administrer une politique de gouvernance informatique,
• améliorer les moyens et la communication avec la DSI, réduire l’intermédiation hiérarchique, voire augmenter l’effectif du pôle informatique, si nécessaire,
• surveiller et contrôler les droits d’installation ou de connexion au réseau.

Serveurs

avril 12th, 2023 | eckertmathison |

Comme son nom l’indique, un serveur offre des services à plusieurs clients.

Il faut voir un serveur informatique comme un serveur de restaurant. C’est-à-dire une machine qui reçoit des commandes, les traite et y répond.

Pour faire simple, un serveur informatique reçoit des requêtes, traite et redistribue l’information à “un client” via le réseau.

Qu’est ce qu’un serveur ?

Un serveur peut être vue comme un ordinateur puissant.

Les serveurs ont besoin d’un système d’exploitation pour fonctionner. Ils peuvent être stockés dans des infrastructures matérielles (dans des Data Center) ou sur le cloud.

On parlera de clients légers pour les ressources entièrement gérés sur des serveurs. Un client lourd concerne un logiciel installé dans un ordinateur.

Le marché des serveurs

Il semble que le marché mondial des serveurs ne cessent d’augmenter, jusqu’à atteindre 20,9 milliard de dollars au premier trimestre de 2021. Dans le top 3 des vendeurs de serveurs, Dell Technologies, la co-entreprise HPE/H3C et Inspur Systems.

A quoi servent les serveurs ?

Le système de serveur, (réception, traitement et réponse de requêtes) permet à nos services quotidien de fonctionner (accès à internet, à un logiciel de messagerie, le stockage des bases de données…). Sans serveur, pas de communications avec l’extérieur.

Ils permettent ainsi d’organiser, de contrôler et de centraliser les informations.

Serveur physique ou virtuel

Un serveur peut donc être physique (matériel) ou virtuel (logiciel).

Les serveurs virtuels, de plus en plus prisés en entreprises, sont plus avantageux car ils permettent de réduire les coûts d’installations, immobiliers, de maintenance ainsi que les factures énergétiques.

Pour passer d’un serveur matériel à un serveur logiciel, il suffit de passer par un hyperviseur. Celui-ci, divisera le serveur physique en plusieurs serveurs virtuels : il s’agit de la virtualisation !

Tout un monde de serveurs

Serveur web, de stockage, de développement, de données ou de bases de données, de messagerie, DNS… Il existe en réalité autant de type de serveur que de type d’utilisation / de besoin informatique / de type d’infrastructure.